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 Christian V. Brown 
Christian V. Brown
Christian V. Brown
Toréador
✝ Date d'inscription : 02/05/2013
✝ Messages : 227
✝ Points : 205
✝ Âge Réel : 32 ans.
✝ Âge Apparent : La trentaine
✝ Statut : Célibataire
✝ Thème : ►Love's Divine
✝ DC : Neal Chaplain
Christian V. Brown 13063001051410018111339544
Christian V. Brown 13061509183710018111295789

Mes Disciplines
Génération: XIIeme
Mes Disciplines:

Christian V. Brown Empty
Christian V. Brown EmptyJeu 2 Mai - 20:27




• Christian Verner Brown •

Live to 20 000 km/second.

My Identity
• Nom : Brown
• Prénom(s) : Christian, Verner
• Âge : 32 ans
• Métier : Jeune coq oisif et pseudo artiste contemporain.
• Origines : Franco-anglaises.
• Âge apparent: Une trentaine dynamique.
• Date d’Étreinte: 11.11.2011

• Génération : XIIeme
• Infant de : Sambre Minouska
• Sire de : Personne.

• Disciplines :
Présence : ♠
Célérité : ♠ ♠
• Coterie ou Meute : Aucune pour le moment.

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My Appearance
Christian est bel homme. Trentenaire actif, il a gardé un corps athlétique, agréable à regarder. Il mesure un mètre soixante-dix-neuf, ratant de peu la barre des un mètre quatre-vingt, portant des costumes bien coupés, sachant faire preuve de goût concernant son apparence, à laquelle il attache de l'importance. Il a ce côté playboy qui le pousse à entretenir son physique, afin de mieux plaire, attirer le regard, tout en gardant un conté naturel et décontracté.
Ses cheveux bruns encadrent son visage harmonieux et masculin en mèches travaillées. Il porte ou non une barbe soignée en fonction de ses envies - ce n'est pas parce qu'on est un Vampire, que l'on ne doit pas se raser le matin si l'on souhaite briser un peu le carcan du look éternellement identique. Il a donc au naturel une barbe de trois jours soignée et ses cheveux, qu'il coupe parfois juste pour la nuit, son naturellement un peu longs, en un côté très décontracté.
Ses yeux sont d'un bleu profond, intenses. Sa peau très pâle lui donnent un charme supplémentaire, avec son look métro-sexuel et sa voix grave, rendue assez rauque par la cigarette - qu'il a gardé l'habitude de fumer afin de se donner une contenance.
Christian apprécie le jeu de l'apparence, élégant même pour lui-même et il déteste se montrer négligé. Homme à femmes, il collectionne ces dernières comme d'autres collectionnent les jolies montres ou les belles voitures. Il aime tout ce qui est beau, tout ce qui est précieux et avoir à son bras une ravissante jeune femme est un peu comme arriver en Rolls Royce à l'expo agricole du coin, ce n'est pas très utile, mais ça en jette.

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My Mind
Frimeur et beau parleur, Christian semble de prime abord un homme décontracté, à l'aise en société, n'hésitant pas à exposer ses opinions, ses goûts. Il est mondain, agréable à fréquenter dans le cadre de soirées. Mais pas vraiment agréable dans le cadre privé : trop charmeur, trop frimeur, il a un égo à la mesure de sa richesse et des soirées auxquels il participe. Un égo d'artiste raté, ne faisant finalement que de lui un poseur, derrière les apparences trompeuses de l'amateur d'art. C'est justement ce qu'il est : un amateur.
Au milieu de tous les Toréadors doués, il s'éteint en silence, comme une étoile noire.
Oui, il parle bien, y met des formes, de la passion, des trémolos. Mais, aussi volage en amour que dans ce qui devrait être sa passion. L'art contemporain, c'est chic, c'est cher, et c'est pour ça qu'il aime ça. Il en parle très bien. Mais pour faire quelque chose, c'est une autre paire de manches.
C'est un peu l'histoire de sa vie : une grande gueule et peu d'actions. S'il séduit de superbes filles, il n'a aucune petite amie, disant à qui veut l'entendre que c'est par choix personnel, parce qu'il y a trop de beaux oiseaux pour se contenter d'un seul. En vérité, c'est plus souvent ses conquêtes qui fuient devant tant d'égoïsme et de suffisance.
Finalement, avec toutes ses belles voitures, les mannequins, le champagnes, les soirées mondaines et même le fait d'être un Vampire, il est seul. D'autant plus seul qu'il est mort. Il n'accepte pas encore très bien sa nouvelle nature, s'accrochant à son humanité comme aux lambeaux de sa vie perdue. Il ne supporte pas encore l'idée de tuer pour se nourrir et préfère, sous le couvert de fréquenter le beau monde, se nourrir de sang en flûtes, anonyme. Il n'a bu qu'une seule fois au cou d'un humain et la mort de ce dernier, n'ayant pas su s'arrêter à temps, l'a bouleversé. Depuis, il ne chasse pas. Il fait semblant de partager le goût du sang avec les autres mais préfère se nourrir de sang en pochettes, ou sur des animaux lorsque le besoin de mordre est trop grand.
Poseur donc, jusque dans sa propre nature, qu'il fait semblant d'avoir très bien acceptée, d'être un prédateur de la nuit, aux dents longues et aux ambitions aussi noires que ses desseins... Cachant derrière l'homme effrayé par sa Bête, par le meurtre, par les plus vieux que lui, par toute cette société prête à s'entre-dévorer.
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My Story

Né en 1981, à Paris, Golden Boy d'une génération dorée, privilégiée, il est le fils d'un riche industriel spécialisé dans la robotique domestique - vous savez, les autocuiseurs, les aspirateurs qui se passent tout seuls et même les batteurs à œufs.
Enfant chéri de son génie mécanique de père, il était déjà assis sur le trône de son empire avant même de savoir marcher.
Christian portait sur ses épaules d'enfant toute l'ambition de son requin de père. Il fut aimé, mais c'était un amour distant, pudique car gêné par toutes les obligations d'un homme fortuné et réclamé qui ne pouvait pas toujours être là pour son anniversaire ou pour les jours importants des enfants - le spectacle de fin d'année, noël... Toutes ces choses que son père a fini par manquer.
Sa mère, mannequin anglaise plus attirée par la fortune que par le front dégarni d'Howard Jr Brown, était de la même trempe que ce dernier. Si elle s'occupait de son fils, elle passa à côté de bien des choses.
Il aurait pu leur en vouloir, s'aigrir contre eux. Il se blinda au contraire contre les femmes et les autres hommes, persuadé de n'être finalement qu'un poisson clown dans un aquarium de requins. Une petite coupure et il serait mort.
Alors, pour suivre les traces qu'on voulait qu'il suive, il passa un baccalauréat scientifique qu'il obtient dans une moyenne convenable. Il n'était pas un génie, lui. Mais il bossait dur et cela lui permit de ne pas faire de vagues avec un échec.

Il n'eut pas vraiment de crise d'adolescence, se contentant de très rapidement privilégier l'apparence, ce qui lui permettait de multiplier les petites amies, qu'il jetait ensuite. La peur de l'engagement, de l'attachement. La peur, peut-être aussi, qu'elles soient comme sa mère et les amants qu'elle ramenait parfois et qu'un couple se résume à une belle montre : on la met parfois au bras pour sortir, mais on la laisse dans un écrin dans la vie de tous les jours.
Il entra à la faculté pour passer un doctorat en génie mécanique. Parce que c'était ce que voulait son père. Il partit pour étudier à Londres, non pas pour couper les ponts avec sa famille mais parce que c'était la meilleure faculté d'Europe et que son père y avait été avant lui.

L'on disait qu'il avait une vie rêvée, avec son grand duplex payé par papa, sa voiture payée par maman, ses costumes Armani et ses objets hors de prix. Mais tout ça était vide. Une fille dans son lit ne faisait que légèrement parfumer les draps avant de s'en aller, parce qu'il s'arrangeait pour la faire fuir, en se montrant égoïste et égocentrique.
Pour ne pas se créer d'attaches, lui qui était finalement le parfait portrait que l'on attendait de lui. Il réussit même son examen à vingt-neuf ans. Son père et sa mère ne firent pas le déplacement, ils étaient à ce moment là à New York. Il était normal qu'il réussisse, car il était "le fils de"... Mais comment leur dire à tous qu'il n'avait pas le génie de son paternel, que ce n'était que le fruit d'un travail acharné qui lui avait valu de décrocher son diplôme sans mention, sans rien, mais de le décrocher ?

Il revint quelques mois à Paris, une fois son diplôme en poche, son père devant faire de lui son successeur. Mais il n'eut même pas le temps de revoir son fils. L'avion privé où voyageait son père souffrit d'une défaillance technique et s'écrasa dans l'atlantique, avec sa mère et quelques autres amis mondains du couple.
La tragédie tomba sur les épaules de Christian comme une chape de plomb supplémentaire. Devenu non seulement orphelin, mais également une cible vivante pour tous les ambitieux collaborateurs des sociétés gérées par Hoswald Jr Brown, il dû faire face à ses responsabilités et hérita de l'empire financier.
Très vite, il tomba dans la décadence médiatique d'un jeune fils de riche. Pour supporter la pression, il se réfugia dans la cocaïne et dans les soirées, dans les bras de filles splendides. Rien ne pouvait lui apporter la paix. Actionnaire majoritaire dans huit sociétés majeures, scruté à la loupe, il s'oublia dans le whisky haut de gamme et laissa l'associé de son père diriger dans l'ombre, se désintéressant lentement de tout. Parfois, pour se détendre, il bidouillait une moto, pour le fun, sans grand génie, mais juste pour le plaisir de tripoter de la tôle et des boulons.
Ce fut un peu l'anniversaire de ses trente et un ans - une vraie fête orgiaque - qu'il fut fauché à la vie à son tour. Pour en revenir, au contraire de ses parents.
La fille à son bras était splendide. Une grande brune, maquillée avec art, portant une robe sublime et aux yeux d'un brun-caramel des plus expressifs. L'on savait peu de choses de cette fille, à part qu'elle était une peintre talentueuse. Elle disait s'appelait Sambre et il était trop bourré pour lui dire que ce n'était pas très russe.
Il se sentait drôle, avec elle, comme s'il était mis en confiance par une aura, ou un truc dans ce genre. C'était la première femme avec laquelle il était à l'aise et, alors que la soirée se terminait dans le penthouse parisien, elle resta avec lui sur le canapé, à lui donner des baisers. Des baisers profonds, certains dans le cou, d'autres sur le torse. Il était trop bourré pour ne pas réagir, mais aussi trop bourré pour remarquer que quelque chose n'allait pas avec certaines courbes du corps qu'il caressait. Mais, alors qu'ils étaient seuls, dans le vaste salon désert, elle lui donna un baiser plus intense que tous les autres et ce fut le trou noir.
Il se réveilla un peu plus tard, comme brutalement dégrisé, Sambre se grillant une cigarette sur le balcon alors qu'il se tordait de douleur sur le tapis, agonisant pour mieux renaître.

Les premières minutes furent un peu décousues, il se souvint s'être jeté sur Sambre, pour le secouer avec une force nouvelle, lui ordonnant de lui dire ce qu'elle lui avait fait. Elle se contenta de rire à sa détresse, aux terribles sensations qui l'assaillaient. Se dirigeant vers la chambre, elle l'ouvrit sur une superbe jeune femme blonde. Une femme qui dormait sur le lit, paisiblement. Mais l'odeur de son corps était si tentatrice qu'il s'était précipité, mécaniquement, son corps savait d'instinct quoi faire quand sa tête hurlait au grand délire. Il était camé, sûrement, il devait faire un bad-trip. C'en était sûrement un quand il se retrouva cramponné à un cadavre, ayant bu trop de sang, ayant déchiré l'artère dans sa précipitation incontrôlée.
Il y avait du sang partout autours de lui, sur lui. Un sang dont l'odeur l'affolait. Mais la vision de cette fille morte le tétanisait. Sambre regardait la scène avec un petit sourire en coin.
Venant vers lui, elle lui donna un nouveau baiser, lui disant tendrement à l'oreille qu'il saurait quoi faire et qu'il n'avait qu'à faire comme d'habitude : rien. Elle lui parla brièvement de choses complètement folle, du nom d'un clan, les Toréadors, et qu'elle avait eu l'autorisation pour le créer, qu'il n'était donc pas en danger. Elle rit encore en lui disant qu'elle allait partir le lendemain.

Sambre ne lui apprit rien de la non-vie. Elle se contenta de le larguer devant l'Elysium de Paris afin qu'il vienne voir un certain François Villon et prit le premier vol pour il ne savait où.
Traumatisé par son meurtre, Christian fut reçu par les Vampires avec de certains égards - il était effectivement prévu qu'il soit Etreint. Mais il découvrit dans le secret des nuits parisienne, des êtres qui ressemblaient de manière bien plus terribles aux requins qu'il craignait dans sa vie mortelle.
Il ne se fit pas passer pour mort, se contentant de fuir Paris pour Londres, espérant que la capitale anglaise serait moins effrayante. Ce n'était pas le cas. La ville ressemblait à l'autre, avec les même impitoyables créatures.
Il n'eut en apparence aucun mal à s'habituer à sa nature, à sa condition de Vampire, laissant les mortels associés de son père gérer son empire, ainsi qu'ils le faisaient toujours, se contentant d'être riche et oisif, s'intéressant à l'art contemporain pour mieux survivre au milieu des Toréadors. Mais son truc à lui, ce n'est pas toutes ces conneries de peinture, ou de sculpture ou de danse. C'est de customiser ses motos, ses voitures. De bricoler des trucs modestes pour se détendre. C'est sa seule manière de tenir bon psychologiquement, de supporter la pression. Lorsqu'il a trop faim, il bricole. Lorsqu'il a trop peur, il customise des grille-pains.
Christian est simplement encore incapable de se résoudre à devenir ce qu'un autre à encore voulu qu'il soit.
Après ses parents, c'est un Vampire qui lui impose sa vie. Autant faire semblant de s'en accommoder : il n'a qu'à faire à peu près la même chose qu'avant de mourir. En face de créatures anciennes et prédatrices. Un peu comme avant, finalement. En plus sanglant.

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• Avatar : Gaspard Ulliel
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Christian V. Brown EmptyVen 3 Mai - 8:41

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Christian V. Brown

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