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 Rosamund Sinclair 
Rosamund Sinclair
Rosamund Sinclair
Toréador
✝ Date d'inscription : 30/04/2013
✝ Messages : 96
✝ Points : 20
✝ Âge Réel : 113
✝ Âge Apparent : 27
✝ Statut : Délivrée de ces contingences...

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Rosamund Sinclair EmptyMer 1 Mai - 18:27




• Rosamund Sinclair •

Wow. This is so bad it's almost good.

My Identity
• Nom : Sinclair
• Prénom(s) : Rosamund
• Âge : 113
• Métier : Photographe, chasseuse de tendance, historienne du mauvais goût...
• Origines : Anglaises !
• Âge apparent: Peut être 27 ou 28
• Date d’Étreinte: 1900

• Génération : Xè
• Infant de : Alastair Rhodes-Jones
• Sire de : personne

• Disciplines : Présence ***, Augure ***, Célérité **
• Coterie ou Meute :

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My Appearance

Rosamund est rousse, rousse, rousse, et encore rousse. Elle a toujours eu une crinière d'un roux flamboyant, qui n'a jamais pu être être domptée. D'ailleurs, parfois, elle se dit que sans ces chignons récalcitrants, qui semblaient toujours menacer de s'écrouler et de retomber sur ces épaules, elle n'en serait pas là. Comme bien des rousses, elle a des yeux clairs et une peau laiteuse qui n'a pas plus connu le soleil dans la vie que dans la non vie, finalement. Plutôt grande et fine, plus que sa silhouette elle même, c'est plus la grâce des Toreadors que l'on remarque. Et tout est subtilement étudié en elle pour être remarqué, des vêtements aux gestes en passant par ses paroles. Elle n'apprécie que les matières précieuses, raffinées, et abhorre le clinquant. Il est si facile de captiver l'attention des mortels. Elle se laisse parfois aller à porter de temps à autre le genre de vêtements en vogue à l'époque de son Etreinte. Etrange ? Peut être, mais les artistes n'ont-ils pas droit à leurs petites extravagances de temps à autre ?

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My Mind
Il y a bien longtemps, c'était une jeune fille effacée, qui gardait les yeux modestement baissés comme il convenait à une demoiselle de bonne famille. Plus tard, elle est devenu une jeune femme déterminée à s'accomplir dans son art. Volontaire, oui, déterminée, et autoritaire, il le fallait bien, infiniment égoïste aussi. Mais sachant mener son monde d'une main de fer, certes, dans un gant de velours. Sans hausser le ton, sans froncer des sourcils. Un peu trop vulgaire à son gout. Son sire lui avait appris qu'il y avait d'autres moyens de faire et de tirer les ficelles. D'étudier, de séduire, de captiver, de connaitre la bonne information et la distiller à la bonne personne. Ou de leur inspirer une saine terreur quand vraiment le besoin s'en fait sentir. Elle charme, bavarde, séduit, met les autres à l'aise. Les fait parler, librement, sans détours et s'est constitué une belle collection de petits secrets.

Il est si facile de captiver l'attention des mortels. Le bétail ? Oui, après tout, c'est bien du bétail, mais…Elle porte le même soin à choisir ses proies, qu'à tout le reste. A quoi bon s'entourer de raffinement pour se nourrir de n'importe quoi ? Évidemment, la faim reste le meilleur des condiments, mais elle trouve triste de devoir en arriver là. Se nourrir d'un homme ou d'une femme trop négligé, trop rustaud, c'est comme manger par terre, ou dans une assiette sale. C'est pour cela que la chasse est avant tout un plaisir et un art qu'elle a longuement perfectionné et apprécie avec délectation. Elle sait se fondre parfaitement parmi les humains et en apprécie même quelques uns. Ceux là, elle met un point d'honneur à ne pas s'en nourrir. Ce serait comme si un humain décidait tout à coup de cuisiner son chat pour le diner. Non, il y a des choses qui ne se font définitivement pas. Ou alors, à moins d'être acculée.
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My Story
Née dans ce qu'on appelait à l'époque, une bonne famille, avec un père héritier d'une fortune constituée dans les chemins de fer ou d'une filature, elle ne sait plus exactement, et très franchement, quelle importance ?
Probablement pour s'acheter un certain prestige social, sa famille avait toujours soutenu les artistes, y compris ceux ayant ou faisant toujours scandale à cette époque. Sculpteur, peintres, graveurs….Elle savait bien qu'à l'heure ou les dames se retiraient dans leur boudoir pour avoir leurs propres discussions, déjà suffisamment scandaleuses ( devait-on vraiment, lire les écrits de Mrs Stanton, même dans leurs cercle ? ), ces messieurs feuilletaient avec amusement les illustrations décadentes d'Aubrey Beardsley.

Elevée au milieu d'artistes qui fréquentaient le salon des Sinclair et voyaient avec amusement cette petite furie rousse, et poser question sur question sur les décors, les peintures, les modèles, elle acquit très vite une culture peu comme pour une enfant de cet âge et considérée comme éminemment subversive…Il ne se passa pas bien longtemps avant qu'elle ne commence à poser comme modèle pour eux. "Elle pose pour des vies de saints et de martyrs" disait sa mère à ses relations de la bonne société.

Des vies de saints, certes, mais plus souvent qu'à son tour, elle prenait des poses de d'odalisque languide, ou de princesse antique, Cléopatre ou Bérénice, au milieu de voilages savamment drapés.

Et surtout sous les pinceaux d'Alastair Rhodes-Jones, héritier lui aussi d'une quelconque fortune. Pour qu'il n'en parle jamais, c'est que l'origine ne devait pas en être bien glorieuse non plus. Mais sa lubie était la peinture, et même s'il n'atteint pas la célébrité de ses pairs à la même époque en raison d'un style que les critiques s'accordaient à décrire comme sybaritique et décadent. Un de ses tableaux la dépeignait inondée de monceaux de fleurs, qui étaient remplacées tous les jours, pour ne rien perdre de leur fraicheur.

Elle devint en quelque sorte sa muse, ce qui était déjà bien sulfureux pour une jeune femme non mariée approchant la vingtaine. Et pis encore quand elle découvrit, presque pas hasard, les possibilités que permettait la photographie. Complètement subjuguée, elle se lança avec passion dans cet art, et contre toute attente, car se pensant dénuée de tout talent artistique, y excella. Rhodes-Jones, Primogène de Londres, ne s'était pas lassé aussi vite qu'il l'imaginait au départ de ce feu follet exigeant et autoritaire. Non, il voyait en elle une digne addition au clan de la rose, et un talent méritant d'être préservé.

Une fuite confortable vers le continent fut organisée, et elle connut l'Etreinte dans un train entre Calais et Paris. Une fois à Paris, elle se laissa guider par son sire, et se laissa encore plus absorber par sa passion, amassant une quantité phénoménale de clichés d'artistes de l'époque, de personnalités, tout autant que d'anonymes. L'époque s'y prêtait, et quand l'Europe fut ravagée par les guerres, ils décidèrement tout simplement d'en partir. Il n'y avait plus vraiment de place pour eux, ni de divertissements suffisants…Qui a envie de passer sa non vie à regarder les mortels manger des topinambours et tenter de faire des merveilles avec une toile à sac pour la rendre portable ?


Direction l'Australie, pour une quinzaine d'années ou ils ne se préoccupaient en grande partie que d'eux, et parfois de quelques membres de leurs clan qu'ils côtoyaient. Rosamund était, à peu de choses près une espionne, son charme et sa présence lui ouvrant toutes les portes. Pour une grande cause. La sienne et celle de son sire. Les secrets étaient des informations, et l'information, c'était une source de pouvoir non négligeable et facilement négociable. L'information se monnaye, s'échange…Toujours équipée de ses appareils photographiques et passant des heures et des heures dans son atelier, ne sortant certaines nuits que pour se nourrir, elle et son sire étaient de toutes les fêtes, et de toutes les réjouissances. Il y avait tant à voir, à faire, à gouter…Jusqu'à s'en lasser.

Car finalement, même si l'Australie avait été un terrain de jeu intéressant, l'endroit restait un peu fruste et éloigné de tout. Et maintenant qu'une vie convenable reprenait aux Etats Unis et en Europe…Aux Etats Unis ? Elle se souvint avoir ri au nez de son sire, et lui, lui avait répondu qu'elle n'avait jamais paru si humaine qu'en fronçant le nez de dégoût à la mention des Etats Unis. Mais les Américains sont des barbares, non ? Une constante dans la non- vie ? Un sain snobisme britannique que quasi rien n'était parvenu à entamer. Non, l'Amérique, décidément, elle ne comptait pas y mettre les pieds de sitôt. Elle préférait encore passer quelques années ou elle était, et puis il était bien temps que leurs routes se séparent. Elle n'avait encore jamais visité le nord de l'Europe, et des visions tout à fait romantiques d'aurores boréales et de fourrures était tout à fait alléchantes. La Norvège, ce serait une excellente idée !

Elle avait repoussé sa proie d'une moue dédaigneuse, après en avoir fini, et finit par la pousser dans l'Hudson d'un coup de pied négligent et contrarié. Finalement, même mort, il avait fallu qu'il la fasse venir aux Etats-Unis, alors qu'elle n'avait aucune envie de s'y rendre. La présence de son sire, ancien Primogène, avait été exigé pour la recherche d'un traître à la Camarilla et aux Toreador dont la tête avait été mise à prix. Révoltant ! Non content de s'être fait tuer, lui qui avait déjà plusieurs siècles, en plus ce traitre leur avait échappé. Elle lui devait bien ça, après tout, elle était vu faire part de son déplaisir à New-York, et avait montré d'une façon sans équivoque que les Roses ne manquaient pas d'épines.
Et alors qu'elle préparait son retour, elle reçut un message d'une ancienne connaissance, retournée à Londres. Les nouvelles la plongèrent entre le rire et la consternation. Non, mais vraiment, à Londres, le coeur de la civilisation ? On lui faisait comprendre à demi-mots qu'on la considérait comme une candidate sérieuse pour une place de Harpie. Elle connaissait bien Londres, et elle n'en était pas à son coup d'essai en ce qui concernait les intrigues et les guerres d'influence. RIen que par curiosité…Elle irait bien voir à quoi ressemblait la ville pour l'instant. Et puis retrouver le confort de son repaire de Covent Garden pour quelques temps...


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Rosamund Sinclair EmptyMer 1 Mai - 18:34

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